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STORY : MY NAME IS FACE Hi mina :D La couverture du roman "Mon nom est Face" :3 Trop contente :D Bon ensuite ben faut continuer à bosser XD. Actuellement en pleine correction de Phi Phi Island, déjà plus de 30 pages de rajoutés et je n'en vois pas la fin T-T But don't worry and keep calm, no stress, :) ça avance bien et ça me fait marrer XD donc j'espère que cela vous plaira à vous aussi. Rappel de date, le manga : "Mon nom est Face" chp 1, entre Octobre et Novembre, le deux suivra. Le roman : VOL 1 vers Décembre ou Janvier. Phi Phi Island qui deviendra sans doute "Liens" en titre ou "Adam", je réfléchis :) : Septembre ou Octobre. Allez au boulot :D The cover of the novel "Mon name is Face": 3 so happy: D " Good then but should continue to work XD. Currently in full correction of Phi Phi Island, already more than 30 pages of added and I do not see the end T - T Goal don't worry and keep calm, stress No., :)-fine and it makes me laugh XD so I hope you like to you also. Date reminder, manga: "Mon name is Face" chp 1, between October and November, the two will follow. " The novel: flight 1 to December or January. Phi Phi Island, which will undoubtedly become "Liens" in title or "Adam", I'm thinking :): September or October. Go to work :D Voici les 5 premières pages de Cloud, je vais tenter de faire 20000 mots mais c'est pas dit :) This is the 5 pages of Cloud, i ll write 20000 words but i dont think so if it s possible :) concours : AT Homoromance. CLOUD ET LES DIEUX
Trois coups de pied, quelques coups d’épaules, un cri de rage sorti des entrailles, des poings qui s’acharnaient, mais rien y faisait. Il avait beau frapper de toute ses forces, la porte de sa cage dorée restait définitivement close. Pourtant, cela ne l’empêchait pas de réessayer encore et encore, toujours plus fort, à la limite d’un déboitement. _ Tu vas t’ouvrir, nom de Dieu ! criait-il furieux. Malgré des assauts à répétition, la porte résistait et ne donnait aucun signe de faiblesse, pas même un lambeau de rouille qui lui redonnerait espoir. La cage en elle-même était assez grande, un confort spartiate juste assez pour y contenir un humain, l’équivalent de sa chambre en plein cœur du centre-ville qu’il louait à l’époque à prix d’or. Glades, le pays des géants ou plutôt des nouveaux Dieux auto-proclamés. Notre monde comme nous le connaissions n’existe plus depuis bien longtemps. L’arrivée de ses surhommes vers l’an trois mille vingt-deux changea notre conception de notre univers si bien qu’aujourd’hui l’humanité a était assouvie à sa grande surprise. La loi du plus fort étant absurde mais la plus efficace, cette poignée de Telmaliens décidèrent de soumettre notre minuscule Terre pour en faire un îlot à grande échelle pour touristes délurés, des galaxies voisines. Les humains y vivant toujours devaient travailler la terre et respecter les règles établies par le conseil des grands Mages. Imaginez-vous des géants surpassant de treize fois la taille d’un homme, le plus grand que vous eusse connu. Ils avaient notre apparence, avec pour certains quelques spécificités comme une peau dorée, des cornes monstrueuses, des doublons de têtes, des queues trainant au ras du sol, des cheveux bleus naturel et parfois des yeux violets rappelant l’améthyste. Pour l’humanité qui avait vécu des siècles de domination sur ses quelques lopins de terres, la vie était bien rude et le statut de la grande majorité de la population encore en vie, misérable. Mais ce qui les différenciaient des terriens, c’était leurs pouvoirs aux dimensions surnaturels. Nos légendes devenaient ainsi réalité. Pas de guerriers en quête de justice ou de princesse à délivrer mais bien des mages, sorciers, enchanteurs... Cette invasion fortuite n’avait pas que des défauts. La Terre qui n’en pouvait plus d’être prise pour une déchetterie, s’est vite lassé de l’humain. Etouffée par les guerres, envahi par le béton, droguée par une pollution constante, polluée jusqu’à la moelle, elle avait retrouvé une seconde jeunesse grâce à l’intervention de ses Mages d’une autre voile actée. Un second souffle, une seconde éternité pour notre bonne vieille planète bleue. C’est d’ailleurs grâce à ce pouvoir nommé « Rédemption » que le grand conseil pu négocier avec les quelques chefs d’Etats encore en fonctions leur suprématie. Le responsable du nouvel ordre des droits de l’Homme signa un pacte avec les « Dieux », faisant alors de toute l’humanité des esclaves bon marché. Dès lors, une lumière descendit du ciel et frappa de plein fouet l’océan pacifique. Une onde de choc aux couleurs des aurores boréales d’Alaska balaya la terre sur toute sa surface. En l’espace d’un instant, le temps se mit à ralentir, un peu au début. Les heures devinrent des minutes, les minutes des secondes, les secondes des millisecondes, ect… A un tel rythme, on pouvait aisément distinguer les mouvements d’ailes des pigeons survolant le Central Park de Manhattan, la course folle d’un jaguar lancé à plein régime dans une savane africaine ou un skateur se jetant du haut d’une rampe. Le temps lui, continuait à ralentir encore et encore jusqu’au point où il s’accéléra mais dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, remontant les siècles passés, les décennies de guerres, la période des lumières, les constructions qui se faisait et défaisaient au même jeté qu’un jeu de dominos alignés les uns derrière les autres. Les terrains défraichis voyaient leurs végétations repousser comme par enchantement. Le miracle continuait, transformant les régions envahies par l’homme en de magnifique forêts luxuriantes du temps où celui-ci ne connaissait pas l’art du bronze. Les animaux sur la liste des disparus pour toujours ou en voie d’extinction reprenaient vie et se multipliaient. Une quintessence d’énergie pure semblait circuler sur toute la planète : l’air retrouva ses propriétés d’antan, les eaux ses poissons et les montagnes, leurs neiges éternelles. Une fois l’ordre rétablie, la magie du temps s’arrêta, laissant des hommes figés, captivés par ce nouvelle-ère. Mais, il eut un « mais ». Une brève illusion qui rattrapa certains situés au mauvais endroit et au mauvais moment. Car si la nature avait recouvré ses plus beaux habits à la suite de ce prodige, l’être humain des temps modernes se retrouvaient sans armes face aux nouveaux prédateurs. Des chatons pour les géants mais de véritables bêtes féroces pour l’homme. Sur les quelques milliards d’êtres humains restant, seuls les plus braves, les plus chanceux, les plus intelligents, les forces de la nature mais aussi quelques abrutis, simplets ou rebelles à toutes réformes, survécurent aux carnages. Situation voulue par ses héros d’un autre monde car ses imposteurs n’étaient autres qu’une espèce de plus parmi tant d’autres habitant l’univers. Les plus respectés de leurs congénères pouvaient donc bénéficier de cet eldorado recréé et rendu possible grâce à Zurka, le représentant des « Dieux ». Au fil du temps, les hommes n’étaient plus des esclaves mais des bêtes, s’engluant petit à petit dans la spirale infernale de la soumission. Nous étions leurs troupeaux, des troupeaux bien sages qui par crainte accomplissaient leurs tâches sans meugler. En effet, ses géants pour certains, Dieux ou Héros pour d’autres, avaient réussis à imposer leurs lois en échange du maintien du cycle de vie de la planète. Quelques rare humains pouvaient accéder à l’élite. Les plus grands fervents de la secte de Zurka avaient le droit de circuler librement dans l’architecture de la citadelle aux nombreuses tours, mais sous certaines réservent. Au préalable, il fallait y être invité où avoir un motif pour y entrer. Les humains voulant passer la première porte devait présenter un tatouage d’identification et la somme requise pour une audience. Seuls les êtres d’une grande beauté avaient droit à ce traitement de faveur. La deuxième possibilité était l’acquisition par un des géants d’un homme-animal, car en termes de valeur, l’homme se situait au même palier qu’un singe de compagnie ou encore celui d’un cochon-dinde dans son bac de pailles. Mais ce qui était le moins divulgué et qui paraissait être une hérésie était cette rumeur qui racontait que les hommes servaient le plus souvent de dîner à leurs précieux Dieux. Dans cette enceinte close de plusieurs milliers de mètre de hauteurs, grande de deux états réunis, l’homme-animal appelé « Nuc » pour les mâles, « Nuctumis » pour les femelles, étaient enfermés et exposés à la vente sur des étagères comme de vulgaire objets de décoration. En comparaison, les jolis petits canaris que nous aimons tant mais que nous privions de leurs libertés. Certains les exposaient aux yeux de tous, d’autres au contraire les présentaient au Terradium, lieu où se déroulait les combats de Nucs. Les plus méritants pouvaient ainsi devenir des serviteurs accomplis libre d’aller et venir dans la demeure de leurs maitres. Les autres, s’ils avaient un soupçon de chance, pouvaient s’échappaient des couteaux de Daffma, le cuisinier de ses nobles et de ses Mages. Cloud faisait partit des exposants lorsqu’il fut acheté au main d’un marchand qui lui avait promis richesse et satiété dans le grand royaume des Telmaliens. Le travail de la ferme ne donnant guerre d’espoir, il s’était dit qu’avec un peu d’audace et un physique ravageur, il pourrait alors obtenir un meilleur statut, ce qu’il regretta mais bien trop tard. Il avait hérité pour maître un géant du nom de Tarbénos. Celui-ci mangeait et buvait à longueur de journée, se pavanait dans des accoutrements de toges trop grandes aux couleurs vivent. Les cheveux courts et bouclés, il faisait penser à un homme du temps de César avec sa couronne de fleur jaunes poser sur la tête. Son rôle, régent de la citadelle. LE Telmalien possédant les pleins pouvoirs sur l’armée et les gardes. Qui l’eut cru. Ceux qui avaient côtoyés des géants savaient qu’il ne fallait jamais se fier aux apparences car s’il n’en avait pas l’air, ce grassouillet des hanches, un peu bêta et maniaque à la fois possédait un pouvoir craint par les plus grands. Pourtant, malgré de hautes responsabilités, son activité principale se limitait à faire copuler les Nucs et ça, peu importe leurs sexes ou leurs âges. Les barreaux étaient solides et résistaient toujours à ses assauts. Cloud qui eut son lot de bleues, alla s’allonger sur le petit lit cherchant mille et une solutions d’évasions, mais aucune ne semblaient l’aider à sortir de cette situation qu’on pouvait définir comme désespéré. Dans sa cage, le jour il étouffait sous la chaleur des lampes, la nuit il gelait sous sa couverture, une simple feuille de Bashô lui rappelant celle de l’Erable. Grand, musclé, des abdominaux ressortir grâce à ses journées éreintantes à la ferme, des cheveux noirs souples et touffu, des traits herculéens et des yeux bleus en amende. Candidat parfait pour le concours du meilleur Nuc, s’était dit Tarbénos, qui envisageait par la suite sa revente au prix le plus élevé. Ce dernier, un gros balourd, un enfant dans un corps d’homme ou plutôt de géant, sortait tout heureux de la boutique et se précipita vers ses appartements. D’un simple mot, incompréhensible pour notre ami secoué dans tous les sens, il ouvrit la porte et déposa sur la table, la cage aux moulures dorée. Il portait entre ses mains un autre Nuc du nom de Saito. D’origine asiatique, il était frêle mais de beau visage, efféminé et de corps élancé qui avait su attirer l’attention du régent. A sa droite, son ami Gregor venu l’assister l’observait, intrigué. Aussi grand que lui, la barbe épaisse, brune entourant sa bouche et arrivant jusqu’aux oreilles, des cheveux mi-long bouclés et roux. Sa musculature imposante, ses décorations, ses habits de guerriers confirmaient son statut de noble. Une couronne d’or de plusieurs griffes sur le front accentuait ses yeux de chats aux couleurs d’automne où deux losanges noirs se rétractaient pour scruter l’animal. Hi, hi mina,
Je tiens à avertir que "Cloud et les Dieux", n'est qu'une ébauche et un désir d'aborder le thème de l'amour pour m'entrainer sur les mots. Ce texte écrit l'année dernière à été mis de côté. Et on voit clairement que je débutais, même si aujourd'hui j'ai encore pas mal d'efforts à fournir. J'ai corrigé par endroit mais le texte reste une esquisse non fini, mais bon, enjoy XD. Pour ceux qui se pose la question car nombreux le sont, je ne posterais jamais les textes au complet, sauf dans le cadre d'un concours que je posterais sur mon facebook ou autre exception. Une fois celui-ci reprit par la relectrice, il est ensuite enlevé du site. Seules les premières lignes resterons à disposition. Bien entendu, vous pourrez toujours faire la demande par mail : [email protected], pour une version complète si celui ci n'a pas encore été reprit. Voili, voilu; Je vous dit à bientôt pour une suite écrite de "Ai no kusabi" :) |
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April 2020
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